Edition de fevrier-mars

CONVERTISSEZ-VOUS ET CROYEZ A LA BONNE NOUVELLE !
Quelle mine de carême !
C’est dire si, dans l’esprit de beaucoup, ce temps liturgique est synonyme de privation et de pénitence ! D’ailleurs, le mardi gras (veille du début de carême) et la Laetare (mi-carême) sont apparus pour contrebalancer l’austérité du moment.
Et pourtant le carême n’est pas là pour nous inciter à nous replier sur nous-mêmes ou à adopter une attitude grave et sombre. Bien au contraire, le message du mercredi des cendres Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle est un appel à nous tourner vers Dieu et à le laisser nous transformer.
Le temps de carême est donc un temps de disponibilité et d’abandon pour mieux vivre la relation d’amour que le Père nous propose et mieux percevoir toute la richesse de sa Parole.
Ces quarante jours de préparation, de re-naissance, nous conduisent patiemment, progressivement à la grande joie pascale. Lumière au milieu de la nuit, source d’eau vive dans le désert, temps de renouveau, nous voici remis à neufs, debout et vivants avec Celui qui a passé par la mort et la résurrection pour que nous soyons à jamais appelés, tout comme Lui, fils bien-aimés du Père.

Evelyne

Six jours avant la fête de la Pâque,
lorsque le Seigneur fit son entrée à Jérusalem,
les enfants allèrent à sa rencontre.
Ils tenaient en main des branches de palmier,
et criaient à pleine voix :
Hosanna au plus haut des cieux !
Sois béni, toi qui viens tout rayonnant de bonté !
Antienne d’ouverture de la messe de la passion

LE PARDON

S’il y a une chose que notre monde moderne et individualiste a oubliée, c’est bien le pardon. Quand il nous arrive de commettre une faute envers quelqu’un, que cet acte soit volontaire ou non, le pardon met souvent du temps à arriver et si, par malheur, vous commettez la même erreur une seconde fois, le tout vous revient comme si rien n’avait été vraiment pardonné la première fois. Une erreur, même bénigne, peut aussi parfois vous coûter cher, suivant que la personne offensée vous pardonne sans calculer ou bien, au contraire, si elle vous fait ressentir de façon pesante vos torts.
Je suppose que de tout temps, il n’a jamais été facile de pardonner sans arrière pensée mais il me semble qu’au jour d’aujourd'hui, il existe une certaine peur de pardonner, signe de faiblesse incitant l’autre à recommencer sans cesse les mêmes erreurs. Alors, seule la punition est censée sortir l’autre de ses travers … rien n’est moins sûr pourtant.
Ainsi quelqu’un ayant commis un petit larcin, s’il n’a pas les moyens de s’offrir un bon avocat, risque de se retrouver avec un casier judiciaire qui pesera sur toute sa vie, même s’il a purgé sa peine. N’entend-on pas d’ailleurs dire que quelqu’un qui a volé, reste voleur toute sa vie ou encore comme le dit le proverbe : « Qui vole un œuf, vole un bœuf » ?
Les apparences, les jugements sans fondement au premier contact, la rumeur détruisent les rapports humains. Pourquoi une personne ayant commis une erreur et ayant payé pour celle-ci ne pourrait-elle pas avoir une seconde chance ? A chacun de se poser la question : lui laisserai-je l’occasion de me convaincre qu’il a changé ?
Un des défauts de ce monde moderne et individualiste dont je parlais au début de cet article est sans doute sa capacité à juger rapidement et superficiellement, se fiant rapidement aux apparences. Le regard des autres est souvent critique et si la personne ainsi jugée est un tant soit peu influençable, elle risque d’être déstabilisée pour longtemps !
Avez-vous aussi déjà remarqué combien il est difficile de rire d’une blague racontée par une personne que l’on n’apprécie pas que par un copain ou un ami ?
Et bien, pour changer, même petitement notre monde actuel, sourions à celui que nous croisons et prenons plaisir aux blagues de tous … même si elles sont un peu pourries !

Thomas

FIORETTI

Réconciliation familiale
Les disputes en famille, entre frères et sœurs, sont certainement courantes dans toutes les familles. On dit que ce n’est pas amusant mais que ferait-on si on ne se disputait pas … on s’ennuierait sans doute ! Et puis, qui dit dispute, dit aussi réconciliation et ça, c’est un bon moment !
On se querelle peut-être plus chez les uns que chez les autres, mais l’essentiel est que cela s’arrange, non ? Et puis, c’est si gai le gros câlin qu’on se fait après une dispute !
D’ailleurs, une famille parfaite, sans discussion, cela existe ?

Aline

Carême de partage : Elles cultivent, qui récolte ?

Depuis 1961, les collectes du 4è et 6è dimanche de Carême (qui correspondent cette année aux 14 et 28 mars) sont consacrées au Carême de Partage. Elles sont destinées à soutenir les actions de partenaires d'Entraide et Fraternité se trouvant dans les pays du Sud. Cette année, la campagne de Carême soutient les femmes dans l'agriculture paysanne. En effet, dans les pays du Sud, deux tiers des femmes travaillent dans l'agriculture, travail contraignant qui n'apporte souvent qu'un maigre résultat. De plus, elles cultivent des parcelles qui ne sont pas à elles mais à leur père ou leur mari, et sur lesquelles elles n'ont aucun droit ni aucune sécurité. Elles ne maîtrisent donc ni la consommation, ni la vente de ce qu'elles produisent. Malgré ces difficultés, les femmes rapportent au moins la moitié des aliments consommés par le ménage, grâce à ce qu'elles produisent ou grâce à leurs revenus.
Des associations locales les soutiennent en aidant les paysans à vivre de leurs récoltes, en les formant à l'agriculture biologique, à de nouvelles méthodes de semence et de récolte,... Ces associations améliorent donc la production agricole mais changent aussi le statut des femmes en faisant comprendre aux paysans l'importance de bien traiter leur (future) femme et de l'épauler. En parallèle à ces actions d'éducation, les associations agissent au niveau politique pour faire évoluer et respecter les lois dans une perspective d'égalité entre les hommes et les femmes.
Plus d'info ? http://www.entraide.be
Si nous ne sommes pas indifférents à notre monde, notre monde sera différent !

Claire

Nos trois paroisses de Floreffe, Sovimont et Buzet ont choisi de soutenir un projet en République démocratique du Congo, dans la région des Grands Lacs. Cette dénomination de lieu pourrait faire rêver … mais les abords du lac Kivou n’ont rien d’un eldorado nous dit le reportage de l’ONG. L’Association pour la Promotion de l’Entreprenariat Féminin a choisi d’accompagner des paysannes établies en ville en leur rendant l’espoir d’une vie décente grâce à l’appui du microcrédit.
Wenceslas nous a permis d’écouter dimanche dernier, Mama, sympathique africaine à l’accent chantant … dotée d’un solide tempérament mais surtout d’une dignité qui impose le respect ! Il me reste en mémoire son message final, d’une simplicité confondante : Je vous demande de prier pour nous et pour que la paix habite notre pays car quand il n’y a pas la guerre, tout va bien, même si le travail est dur !
J’ai également rencontré une paroissienne la semaine dernière, franchement transie de froid mais déterminée, qui arpentait la dalle de la gare de Namur, distribuant avec un sourire confondant des messages de fraternité aux voyageurs bien peu amènes, un matin dès potron-minet ! Vous ne la reconnaissez pas ? Claire et Christine, même combat pacifique !

Evelyne

FIORETTI

Dis mamy, c’est quoi ça, le carême ?
Je me souviens que ma grand-mère disait : « il faut manger moins de chocolat » … mais même papy avait bien du mal à le faire ! Moi aussi, au fait …
Monsieur le curé disait qu’il fallait penser plus aux autres, dépenser moins, faire moins d’EXTRAVAGANCES … Oups, que peut bien vouloir dire ce mot compliqué ?
Alors ‘extra’, ça va, je comprends : c’est tout ce que l’on prend en plus que d’habitude … mais alors mamy, on peut manger du chocolat puisque c’est une habitude ! Alors là, si j’avais eu le cran d’affirmer une chose pareille, ma grand-mère m’aurait répondu tout de suite : « Voyons François, le chocolat, tu n’en n’a pas besoin pour vivre, pas plus que les biscuits du goûter. Tu peux plutôt manger une tartine de confiture ».
« Donc, mamy, le carême, c’est manger moins de bonnes choses ? »
« Oui, François, c’est vrai, c’est un peu ça … mais c’est aussi partager plein de choses avec les autres et prendre encore bien d’autres chemins pour se rapprocher de Dieu … mais cela, tu le comprendras quand tu seras plus grand ».
J’ai grandi, j’ai découvert … et j’ai mieux compris !

François

TRADITIONS SUR LES RAMEAUX

1. Les branches d'arbre utilisées pour la procession des Rameaux
L'évangile de St Mathieu dit que les disciples coupaient des branches aux arbres et en jonchaient la route (Mt 21/8 ). Ces branches étaient probablement des rameaux d'olivier. Cependant, l'évangile de St Jean dit que la foule prit des rameaux de palmier pour acclamer Jésus (Jn 12/13) car c'était une coutume ancienne en orient d'acclamer un héros en agitant des palmes.
Les espèces de rameaux sont très variées. L'usage des palmes existe dans les processions de certaines régions de l'Italie, dans celles des provinces méridionales de l'Espagne et dans celles du Portugal. Dans la plupart des départements français, elles ont été remplacées par des rameaux de buis, dans quelques-uns par le laurier et en Provence par l'olivier. On utilise des branches d'olivier en Italie, en Espagne. En Angleterre, on bénit le saule marsault, en Hollande, le houx. En Pologne des branchettes de saule symbolisent la renaissance et la résurrection. En Allemagne et en Alsace, on utilise une plante formant une tige de bois ornée de petites sphères duveteuses, dans d'autres pays, des branches d'if ou de sapin.
2. Que fait on des rameaux de buis béni ?
Le jour des rameaux après la messe et la bénédiction du buis, les fidèles rapportent chez eux les rameaux bénis. Ils en ornent les crucifix de leur maison. Dans certaines régions, la Vendée par exemple, ils portent le buis au cimetière sur les tombes de leurs défunts comme signe d'espérance et de foi en la résurrection. L'après-midi, autrefois, on allait aussi placer un brin de rameaux à l'entrée de chaque champ pour que la récolte soit abondante et de bonne qualité. A Nice, on attache des rameaux de laurier à la proue des bateaux. Les coutumes sont diverses selon les régions et les époques.
On brûle traditionnellement les rameaux secs le premier jour du carême l'année suivante. On peut apporter à la paroisse les rameaux secs de l'année précédente.
Paroisse de Nanterre - http://cybercure.cef.fr

LE CHIFFRE 40 DANS LA BIBLE

‘40’ est un nombre symbolique dans la Bible. Il est utilisé pour définir une période de l’histoire assez longue et dont on ne connaît pas vraiment la durée exacte.
Ce qui est important, c’est le sens de ce nombre. Il symbolise un temps d’attente, de préparation, de pénitence. Cette période débouche sur une nouveauté, un commencement.
Quelques exemples bibliques :
 les 40 jours du déluge : nouvelle alliance de Dieu avec les hommes par l’intermédiaire de Noé ;
 les 40 années nécessaires aux Hébreux ayant quitté le pays de l’esclavage pour rejoindre la terre promise par Dieu à Moïse : une terre où coulent le miel et le lait ;
 les 40 jours de Jésus au désert avant de commencer sa vie pubique.
Ainsi notre carême actuel, temps de prière, de partage et de jeûne, débouche-t-il sur le soleil de Pâques ! Joie de la résurrection qui nous fait vivre.

Emeline

LE PETIT PELERIN DU MOIS : EMELINE

Un double lien nous unit puisque Pradeep et Emeline se sont rencontrés un jour … et ne se sont plus quittés !
Emeline, c’est aussi une grande sœur … dans sa famille mais aussi dans le groupe. Très organisée, c’est quelqu’un de confiance, à qui on peut sans problème donner des responsabilités. Son aide à Beauraing est précieuse et les malades lui sont très attachés.
Un peu râleuse, boudeuse … il ne faut pas trop la chercher qu’on la trouve mais dotée d’un bon sens de l’humour, elle redevient bien vite la copine souriante, toujours à l’écoute.

FIORETTI

Pardonner ou oublier ?
Pardonner ne veut pas dire oublier car les souvenirs restent pour nous rappeler tout ce qui s’est passé, tout ce que les autres nous ont fait.
Parfois, on ne parle plus à ces personnes, on ne les voit plus … on les oublie. Et puis, un jour, ils reviennent et agissent comme s’il ne s’était rien passé. Alors la peur s’installe, on se dit que c’est un jeu, qu’ils veulent juste se montrer gentils pour encore nous faire du mal, nous mentir.
Malgré cela, on continue à vivre, à sourire, à faire comme si tout allait bien, jusqu’au jour où tout à l’intérieur de nous explose, alors plus rien ne va et tout s’écroule.
Finalement, je pense que lorsqu’on pardonne en oubliant … dans le fond, c’est qu’on ne pardonne pas vraiment !

Céline

FIORETTI

La réconciliation entre amis.
Une vraie amitié n’est pas toujours sans dispute. Cela arrive à tout le monde un jour, mais le meilleur moment c’est la réconciliation, quand on vide son cœur et que l’on pardonne. Prendre le temps de s’arrêter pour mieux repartir. Nous avons tous vécu ces moments avec notre amoureux(se), nos parents, nos ami(e)s, nos frères et sœurs. La réconciliation et un moment pour faire une pause, entamer un dialogue, discuter.

Anaïs

Pour moi le carême, c’est …
… un temps de partage
… pour qu’elle tourne plus juste – dit Entraide et Fraternité
… un temps de réflexion
… la réflexion te gardera de l’erreur et la raison veillera sur toi – dit le Proverbe
… un temps d’attente
… Marie gardait tout ces événements dans son cœur – dit saint Luc
… un temps de prière
… laudate omnes gentes – chantent les jeunes à Taizé
… un temps de communauté
… ils mettaient tout en commun – disent les Actes.
Et ce temps hors du temps, conduit pas à pas vers la lumière du Vivant !

Quelques mots de Bénédicte, mis en musique par Evelyne


LES CARNAVALS D’ICI ET D’AILLEURS

Les carnavals sont des fêtes relativement répandues en Europe et en Amérique du Sud.
On fait dériver le mot carnaval de carne (pour caro, chair) et avaler, parce que l'on mange beaucoup de chair pendant le Carnaval pour se dédommager de l'abstinence imposée pendant le Carême.
Ils consistent généralement en une période où les habitants de la ville sortent déguisés , masqués ou bien maquillés) et se retrouvent pour chanter et danser dans les rues, jeter des confettis, éventuellement autour d’une parade.
Les travestissements de tous genres, les bals nocturnes et masqués, les promenades sont les principaux amusements auxquels on se livre pendant le Carnaval.

Quelques carnavals célèbres
* Le Laetare de Stavelot ou le carnaval des Blancs-Moussis ( signifiant vêtu de blanc ) dure 3 jours . Auparavant , la tenue blanche avec ce long nez rouge , faite grâce à un drap de lit et une taie d'oreiller était simplement un déguisement de fortune utilisé par les moines pour fêter le carnaval . Mais par après , à Stavelot , la signification de ce déguisement pris une tout autre tournure . En effet , il est alors devenu une parodie des moines du XVème siècle à qui il avait été interdit de fêter le carnaval après une période de trop grand laxisme . Ainsi , les Blancs-Moussis parcourent les rues le matin en placardant des affiches irrévérencieuses et l'après-midi , ils surgissent de leur char pour jeter des confettis sur la foule et flagellent le public avec une vessie de porc.
* Le carnaval de Venise dure 10 jours, avant le mercredi des Cendres . Inspiré par la commedia dell'arte , le costume traditionnel est la bauta , comprenant le tabarro , la larve et le tricorne ou encore le masque d'arlequin (NB : on ne se déguise pas à Venise , mais on se costume : c'est le carnaval de l'élégance et du raffinement )
* Le carnaval de Rio qui est bien différent des autres carnavals . Lors de ce carnaval , ce sont en fait différentes écoles de Samba qui défilent et forment ainsi un gigantesque concours . Oui , oui ! Un concours ! Avec des supporters pour chaque école qui possède son propre drapeau , un peu comme pour des équipes de football . Mais ce carnaval est très onéreux , même pour les participants : certains économisent durant tout une année pour pouvoir se payer leurs costumes !!!

Lidwina et Nadine

LA RETRAITE DES PETITS PELERINS

Enchantés par nos précédentes expériences chez nos chères Sœurs de la Charité du Beau Vallon, d’une gentillesse à l’égal de leur distraction, Jo anticipe l’arrivée des troupes … et les problèmes de double location éventuels en allant chercher les clés l’après-midi. Première frayeur du week-end : les clés sont introuvables ! « C’est embêtant » dit la très chère sœur … « euh oui, plutôt » dit Jo légèrement agacé. Heureusement il reste le trousseau de la femme de charge, aussitôt réquisitionnée pour ouvrir la maison. Pffffffff
Deux heures plus tard, débarquement des troupes et répartition des chambres … à l’insu de leur plein gré pour certain(e)s ; la chefke palliant avec sa légendaire délicatesse aux palabres et politesses sans fin. Constat : même s’ils sont en nombre largement inférieur, les garçons sont inversement proportionnels en décibels (et quand on connaît le calme olympien de Sylvain et de Jo … cherchez l’erreur !)
Deux courageuses confirmées ont répondu à notre invitation et nous rejoignent pour le souper. Arrivées un peu en avance … elles semblent avoir bien du mal à nous quitter ! Rendez-vous est pris pour de prochaines rencontres.
Le samedi, la neige fait son apparition manquant bien de nous priver du diner … et de Jo, coincé dans la montée de Floriffoux. N’écoutant que son courage et refusant de nous laisser mourir d’inanition (c’est vrai quoi si la chefke a des réserves pour quelques jours, ce n’est pas le cas de quelques jeunes donzelles du genre ‘fil de fer’ !), Jo dompte la fringante voiture qui nous sert de taxi et rejoint la maison juste à temps.
Pour le reste des réjouissances, un roman photos est disponible sur le forum …
Un très bon week-end, avec beaucoup d’échanges, de confidences, de rires et de larmes, de jeux et de temps de prières ou de réflexion … bref un week-end Petits Pèlerins quoi !!!

Evelyne



On vous présente Hector, nouveau Petit Pèlerin !
Didjou, heureusement que la chefke était à ses fourneaux ... gentille la chefke mais très mère poule !!!
Comme vous le voyez, toujours solidaires nos Petits Pèlerins !



la fine équipe autour de la chefke, frigorifiée !

Quelques annonces …
* il n’y aura pas de journée Petits Pèlerins en mars ni avril – prochain rendez-vous le dimanche 16 mai
* messes des familles
- dimanche 28 mars : dimanche des Rameaux et de la Passion – pour les équipes de Buzet et Floreffe – 10h45 au Carmel – être là ¼ h avant la célébration ;
- jeudi 1er avril : jeudi saint à Sovimont – célébration de la cène à 19h avec toutes les équipes des trois paroisses – être là 1/4h avant la célébration ;
- samedi 3 avril : samedi saint au Carmel – veillée pascale à 21h avec toutes les équipes des trois paroisses – être là 1/2h avant la célébration.
- samedi 24 avril : vêpres avec les carmélites et les Petits Pèlerins – invitation à tous – s’inscrire chez Evelyne et Jo
* quelques formations/informations intéressantes :
- de nombreuses animations intéressantes au monastère d’Ermeton – informations sur le site : http://www.ermeton.be/Calendrier/Calendrier.htm
- mercredi 21 avril à Liège, de 14h30 à 16h : conférence de Christian Salenson, prêtre du diocèse de Nîmes : Parle-moi de mon baptême ! Quelle catéchèse pour les sacrements ? Intérêt d’une catéchèse mystagogique ? Jo et moi y participerons, nous pouvons emmener deux personnes !
- samedi 8 mai (toute la journée) : samedi de l’école de liturgie à Jambes (école sainte Marie) – chants et musique en liturgie – renseignements chez Evelyne
- session d’été de Commission interdiocésaine de Pastorale liturgique, du 17 au 21 août, à l’Institut Sainte Marie de Jambes – voir feuillet annexé pour les exemplaires envoyés par la poste – à la demande pour les journaux envoyés par mail

Joyeuse fête de Pâques !!!