Edition d'avril

TEMPS DE PÂQUES

Avec le soir viennent les larmes,
mais au matin, les cris de joie !
Tu as changé mon deuil en une danse,
mes habits funèbres en parure de joie ! Psaume 29

Avez-vous fait un bon carême ? Vous êtes-vous privé de friandises, d’alcools, de distractions ? Avez-vous fait 40 jours de pénitence comme l’Eglise le recommande ?...
Euh, non...Enfin...pas beaucoup...
Eh bien !, rassurez-vous : sachez que Saint Pierre, Saint .Jean et les autres, comme tous les premiers siècles chrétiens, n’ont jamais "fait carême". Ils se limitaient à un ou deux jours de jeûne total les vendredi et samedi saints (mémoire de la Crucifixion). C’est bien plus tard que des moines ont imposé le temps quadragésimal, 40 jours de privations.
Ce qui intéressait les premiers frères, ce qu’ils fêtaient - avec une joie dont nous n’avons plus idée -, ce n’était pas le temps avant la Croix, mais le temps après la Résurrection, les 7 semaines qui allaient du jour de Pâques au jour de Pentecôte quand l’Esprit fut donné.
Cette cinquantaine sainte (7 semaines plus 1 jour) s’appelait le temps de Pâques ou le temps de Pentecôte ou le Grand Dimanche. Il y était interdit de jeûner, de s’attrister et même de s’agenouiller pour prier. Avec son Seigneur, l’Eglise était debout, ruisselante d’allégresse, unie dans la prière à l’Esprit.
Il est urgent que, sans mépris, certes, pour le carême, l’Eglise retrouve la pratique des premières générations.
Le grand temps de fête de l’année, c’est bien ce temps pascal qui, de Pâques, nous conduit à la Pentecôte. C’était d’ailleurs l’unique fête de l’Eglise des premiers siècles - qui ne connaissait ni Noël, ni Carême, ni Assomption, ni Toussaint...

du site des Dominicains de Belgique : http://www.dominicains.be/praedicatio/article_praedicatio.php3?id_article=1236

CHRONIQUE MENSUELLE : Dis, mamy …

- Dis mamy, c’est quoi un sacrement ? J’entends les grands en parler mais je ne comprends pas ce qu’ils disent.
- Mais François, tu es allé au catéchisme pour ta première des communions ! Ton animatrice a bien dû t’expliquer ce que c’était …
- Euh … sûrement mamy mais je ne me souviens plus. Je sais maintenant que le carême, c’est quand papy et moi, on ne peut pas manger de chocolat mais un sacrement … c’est une messe ?
- Oui et non François. Un sacrement est donné par un prêtre ou un évêque pendant une célébration, une cérémonie.
- Comme quand on remet la coupe au vainqueur ? ou que l’on fait sa promesse chez les scouts ?
- Pas tout à fait quand même … François, tu te souviens de la première des communions de ton cousin ?
- Ah ça, oui ! C’est quand il a pu manger l’hostie pour la première fois !
- Voilà ! Et bien, ça, c’est un sacrement. Mais tu sais ce que nous allons faire ? Nous allons chercher au dictionnaire la définition du mot « sacrement ».
Sacrement : rituel sacré institué par Jésus Christ qui confère la grâce.
- Euh … dis mamy, je t’aime bien mais je n’y comprends rien du tout à cette définition !
- Oui, c’est certain qu’ils auraient pu faire plus simple ! Bon, je vais essayer de t’expliquer moi- même : un sacrement, c’est comme un cadeau de Dieu qui est donné par un prêtre ou un évêque pendant une célébration dont le déroulement a été décidé par Jésus et l’Eglise, c'est-à-dire les papes et les évêques.
- Ils ont fait une grande réunion pour en parler tous ensemble ?
- C’est presque cela … depuis le tout début de l’Eglise, le pape réunit ses évêques pour travailler au bonheur des enfants de Dieu. Il faut espérer que l’Esprit de Jésus soit avec eux pour prendre les meilleurs décisions !
- Ah ! Je comprends ! Un sacrement, c’est ce qui me fait devenir un peu plus l’ami de Jésus … un peu comme les vitamines qui font grandir.
- Voilà … dans le fond, pas besoin de mots compliqués du dictionnaire ; rien ne vaut un bon partage. Un sacrement, c’est donc une étape de vie chrétienne et il y en a plusieurs : le baptême, l'eucharistie, la confirmation, le mariage, la réconciliation, l’ordination et le sacrement des malades.
- Ok mamy … je comprends maintenant … mais, mamy, c’est quoi l’ordination et le sacrement des malades ?
- Ah ça, François, c’est encore une toute autre histoire … je t’expliquerai un jour, promis.

François … et mamy !

LES SEPT SACREMENTS DE L’EGLISE

Les sacrements sont des signes visibles du don gratuit (grâce) de Dieu, institués par le Christ et confiés à l’Eglise.
Les sacrements unissent à Dieu et les rites visibles de chaque sacrement (eau, imposition des mains, onction, …) signifient et réalisent les dons propres à chacun.
L’Esprit prépare aux sacrements par la Parole de Dieu.
Les sacrements rendent plus forts et leurs fruits, s’ils sont d’abord personnels, bénéficient également à toute l’Eglise.
L’Eglise célèbre les sacrements en tant que communauté composée de croyants, tous dotés d’une vocation particulière.
Les sacrements sont de 3 ordres : les sacrements d’initiation (baptême, confirmation, eucharistie), les sacrements de guérison (réconciliation et onction des malades), les sacrements au service de la communion (sacrement de l’ordre et mariage).

d’après le site de l’Eglise catholique française

LA CONFIRMATION

J’avais bien entendu déjà assisté à une confirmation mais sans trop savoir comment cela se déroulait.
Mais le voir et le vivre, c’est affaire toute différente ! Je vous explique :
L’année dernière, avec d’autres aînés des Petits Pèlerins et des catéchistes, me voilà lancée dans la catéchèse de confirmation. Cela faisait longtemps que j’espérais pouvoir donner un jour catéchèse aux confirmands. Cela a été une belle expérience, même si ce n’est pas toujours évident de se faire entendre par des jeunes qui vous dépassent d’une tête. Mais ils étaient adorables et nous avons passé une très belle retraite.
Est venu le moment où ils ont dû choisir un parrain et/ou une marraine de confirmation et quel n’a pas été mon étonnement de recevoir une demande de l’une des confirmandes. Voilà, notre Aline qui me demande si j’accepte d’être sa marraine ! J’ai été tellement heureuse qu’elle me fasse cette demande que j’ai dû me retenir pour ne pas verser une petite larme (bah oui quoi, cela ne le fait pas trop de pleurer ‘pour si peu’ !)
Et me voilà à ses côtés pendant la célébration, pour la soutenir dans sa démarche. Nous étions relativement stressées toutes les deux mais cela a été une belle expérience que j’ai adoré partager avec elle.
Je suis heureuse d’être sa marraine de confirmation et, même s’il m’arrive parfois de la taquiner, j’adore ma filleule de confirmation !!!

Lidwina

FIORETTI : Vivre en groupe

Vivre en groupe n’est pas une chose facile car tout le monde doit essayer de s’entendre et d’être à l’écoute de chacun.
Un groupe est constitué de personnes venant de tous horizons, ce qui est la source de sa richesse.
Un groupe peut être comparé à une famille unie : tout le monde doit ‘y mettre du sien’, chacun a sa place et l’absence d’un membre crée un vide, un manque ressenti par tous.
Personne n’est mis de côté, chacun a droit à la parole. La confiance doit régner entre les membres, l’écoute et le partage y être au centre.
Mais surtout, ce sont les personnes qui constituent le groupe qui en sont la vraie richesse !

Céline

LE SACREMENT DES MALADES

Contrairement à une idée bien ancrée chez beaucoup, le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments de l’être humain. Sans doute, les expressions «extrême-onction » ou « dernier sacrement », relevant de la pratique ancienne qui réservait ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort, y ont-elles contribué.
Or, ce sacrement s’adresse aux baptisés dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération importante et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup.
L’onction n’entre évidemment pas en concurrence avec les soins médicaux ni ne les remplacent, le sacrement a pour but de donner une force supplémentaire à la personne devant surmonter une épreuve physique ou morale très lourde.
De l’épitre de saint Jacques au chapitre 5 : Si l’un d’entre vous est malade, qu’il appelle ceux qui exercent dans l’Eglise la fonction d’Anciens : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade : le Seigneur le relèvera et, s’il a commis des péchés, il recevra le pardon.
Tous les deux ans, ce sacrement est célébré au cœur du pèlerinage que quelques uns d’entre nous accompagnent à Beauraing. Ceux qui y ont assisté peuvent témoigner qu’il n’est pas du tout question d’un ‘dernier sacrement’ mais bien plus d’une force, d’un accompagnement divin dans la maladie et la difficulté. Vécu au sein d’une communauté priante et aimante, ce sacrement est également reçu comme un soutien des frères et sœurs dans la foi.
C’est ce même accompagnement d’amitié et de soutien que nous avons témoigné à l’une des nôtres devant faire face à une lourde maladie. Vécue au cours d’une retraite des Petits Pèlerins, la célébration simple mais chaleureuse et riche de sens a permis, non seulement à la malade mais à tous les participants de recevoir réconfort et apaisement.
L’onction des malades, comme d’autres sacrements d’ailleurs, est encore beaucoup trop souvent célébrée aujourd'hui de façon privée, en l’absence de toute communauté. Les sacrements n’ont pourtant de sens qu’ancrés au seing du peuple de Dieu, témoin et porteur de son amour infini pour ses enfants.
A nous d’y travailler selon nos moyens et en toute confiance, assistés par l’Esprit d’amour du Père, afin que l’Eglise de demain soit vraiment une communauté vivante et rayonnante de la joie pascale.
Ubi caritas et amor, ubi caritas Deus ibi est.

Evelyne

FIORETTI : vivre en groupe

Vivre en groupe le temps d’un week-end ou de plusieurs semaines n’est pas toujours facile. Prendre des décisions lorsqu’on est seul est assez simple, surtout si elles n’impliquent que soi. Il n’y a personne pour contredire nos idées ou nos opinions.
Lorsqu’on est plusieurs, prendre des décisions par et pour le groupe est moins évident surtout si une partie des personnes n’est pas impliquée.
Il faut donc trouver les meilleures solutions et non les plus faciles ; elles doivent tenir compte de l’intérêt de l’ensemble du groupe. Cela demande beaucoup de générosité et de clairvoyance !

Sylvain

Les enfants de 2ème année Profession de Foi et les Petits Pèlerins au Carmel – avril 2010

EN ROUTE

Un texte de Jean Debruyne que nous transmet en toute amitié le Père Gaston.
Pour les chrétiens
Etre baptisé
Ca n’est pas être arrivé,
C’est prendre le départ !
Ce n’est pas se mettre à l’abri ;
Mais c’est oser partir.
Etre baptisé, ce n’est pas
S’installer dans la foi.
C’est se mettre en marche.
Ce n’est pas prendre une assurance,
C’est prendre des risques.
Le baptême est un voyage.
Etre baptisé, n’est ni un grade,
Ni une carrière, ni une promotion.
Le baptême ne fait pas des chefs,
Mais des nomades.
Le chrétien habite en chemin,
C’est un vagabond.
Sa seule demeure, c’est la route.
Le chrétien vit
Dans la poussière des pistes,
Les pieds dans la boue
Et la tête aux étoiles.
Le chemin est le livre
Dans lequel le chrétien
Apprend à lire Dieu.

LA RETRAITE DE PROFESSION DE FOI

Animer les soirées de la retraite …
… c’est d’abord se casser la tête pour trouver des jeux et des chants ainsi qu’un fil conducteur pour la première soirée ;
… quand la première animation est bouclée, c’est ensuite avoir une idée de génie pour la suivante !
Et si on faisait un Cuedo géant ?
Enfin tout est prêt, on embarque avec « taxi François » et on rejoint l’équipe pour le souper.
Au menu, pêche au thon, riz et petits pois. Pendant que les animés vivent un temps de prière, nous mettons tout en place pour la veillée. Les jeunes nous rejoignent bientôt et se succèdent chants et jeux : Santiano, La ballade des gens heureux, Si tu as de la joie au cœur, Le petit âne gris ainsi que le sous-marin, le désert, la voiture et le chef d’orchestre.
La veillée finie, nous retournons dormir chez nous afin d’être en forme le lendemain.
Le jour suivant, nous rejoignons la retraite avec l’aide de Françoise. Comme les enfants sont sensés ne pas être au courant, nous préparons le jeu discrètement.
Dès leur activité terminée, le jeu peut commencer.
Tout va bien, un seul problème en vue : faute de renseignements précis, tout le monde improvise dans son coin et l’histoire devient un peu compliquée.
Mais c’est sans compter avec les bons œufs de madame Lecocq … œufs en chocolat bien entendu !
Très bonne expérience que j’espère bien renouveler !

Nadine

M’enfin … vous le faites exprès !!!
Moi, c’est madame Lapoule, épouse Lecoq !
Non mais, vous avez déjà vu un coq qui pond des œufs vous ?
Quant au colonel Philou Black, il faudra lui trouver un costume à sa taille … on a été obligé de le désincarcérer de sa veste à la fin du jeu !
La chefke.

FIORETTI : mettre son talent au service des autres

J’aime mettre mes capacités artistiques au service des autres. Parfois, on me demande de réaliser un dessin ou un bricolage et cela me plaît car c’est ce que je fais au quotidien. Même si cela n’est pas parfait ou ne correspond pas exactement, je me sens utile et cela me rend heureuse car j’aime rendre service.
C’est gai de pouvoir partager sa passion ou aider d’autres à faire un bricolage, cela me permet aussi de progresser en apprenant toujours un peu plus et cela me donne l’envie de découvrir de nouvelles choses à partager.
Dernièrement, on m’a demandé conseil pour une couleur de vêtement ; ce n’est peut-être pas quelque chose de très compliqué mais cela fait partie de mon boulot que de pouvoir associer les couleurs, les tranchées, …
Grâce à ces études, je développe aussi ma capacité de patience : il m’arrive de rester une heure sur 1cm² car je n’abandonne pas avant d’être satisfaite du résultat. J’espère aussi pouvoir mettre cette patience au service ces autres.

Anaïs

POISSON D'AVRIL ! (Moment de culture générale )

D'où peuvent bien provenir ces étranges poissons
qui ne vivent pas dans l'eau,
ne se pêchent pas et ne se mangent même pas ?!

Selon une légende, ils seraient apparus pour la première fois en 1564. Cette année-là, le roi de France décida que l'année commencerait le premier janvier, date qui marque l'allongement des jours. À la date du premier avril, précédemment premier jour de l'an, certaines personnes décidèrent tout de même de s'offrir des cadeaux. Comme ce jour n'était plus réellement jour de fête, les cadeaux furent de faux cadeaux, des cadeaux « pour rire ». Mais tout cela reste une légende car l'année n'a jamais débuté le 1er avril. L'origine de ces fameux poissons reste donc un mystère...
Quant au mot poisson, certains l'expliquent par le fait qu'au début du mois d'avril la lune sort du signe zodiacal des poissons. D'autres disent qu'au début du mois d'avril, comme la pêche est interdite en France, certaines personnes avaient décidé de faire des farces aux pêcheurs en lançant des harengs dans la rivière. En réalité, il existe tellement d'explications qu'il est difficile de savoir si l'une d'elles est vraie...
Au final, on ne sait pas grand chose sur cette fête, si ce n'est qu'elle consiste à faire des farces en criant « poisson d'avril » et à coller de petits poissons dans le dos des gens sans qu'ils s'en aperçoivent. Il est également intéressant de savoir que la France et la Belgique ne sont pas les seuls pays à faire des farces ce jour-là. Mais si les Pays-Bas, le Canada, les États-Unis, la Suisse et le Japon aiment aussi faire des plaisanteries le premier avril, ils ne l'attribuent pas toujours aux poissons !

Claire

FIORETTI : la tolérance

La tolérance est un mot que tout le monde connaît mais qui n’est pas toujours bien compris.
Si Voltaire parlait d’un endroit appelé « Eldorado », « où la vie est simple et où la tolérance apaise tout », nous savons qu’aujourd'hui nous n’avons pas la chance de connaître un monde pareil.
Etre tolérant, c’est accepter tout le monde tel qu’il est, même s’il est différent de nous ; c’est aussi veiller sur ceux que l’on aime et qui nous entourent.
Bien sûr, il faut pouvoir doser cela : on ne peut pas tout accepter. Dans certaines situations, la tolérance n’est pas indiquée.
Si nous voulons vraiment vivre dans un monde agréable, c’est à chacun de nous de faire en sorte que tous puissent se sentir bien, en paix et à sa place.
ce sont de tout petits gestes qui nous mèneront vers un monde bien plus tolérant qu’il n’est.

Emeline

LE PETIT PELERIN DU MOIS : Sylvain

J’ai l’impression que je connais Sylvain depuis toujours … du temps où il suivait la messe sur mes genoux au jour où il m’a demandé, à mon grand bonheur, de devenir sa marraine de confirmation.
Sylvain, c’est notre scout de service : toujours prêt à participer et à se rendre utile … quand il n’oublie pas car il est vrai que c’est un grand distrait qui aime s’isoler de temps à autre !
Monsieur Nature – bon sang ne saurait mentir – c’est quelqu’un d’une grande régularité qui, petit à petit, à son rythme, a pris sa place dans le groupe !

La chefke.

ILS SONT DOUES CES PETITS PELERINS

Nous sommes tous doués pour quelque chose, un don que dame Nature a mis en nous à notre naissance. Ce don est soit un héritage de nos parents soit quelque chose de tout à fait différent mais chacun a un domaine où il excelle.
Dans notre groupe des Petits Pèlerins, c’est pareil : chacun apporte un don différent et la somme de tous nos petits dons profite à l’ensemble du groupe.
Thomas a une grande culture, il est intelligent et sait beaucoup de choses … quand on fait un Trivial, on est content de l’avoir dans son équipe !
Sylvain a beaucoup d’imagination et a le don de la parole et même de la rime !
Tandis que François arrive à mettre très rapidement des projets en place, Nadine a une grande imagination pour les réaliser en musique ou en jeux avec tout l’art dont elle est capable.
Bénédicte est une bonne musicienne, il faut voir ses petits doigts glisser sur le panier pour animer nos célébrations.
Question bon sens, il faut aller voir du côté de Lidwina, Emeline et Claire : Lidwina a la capacité de gérer les choses avec intelligence, Emeline est toujours de bon conseil tandis que Claire est très douée pour mettre une histoire en mouvements, c’est la comédienne du groupe !
Quant à nos 3 plus jeunes, Bérénice, Maxime et Coline, ils s’intéressent à tout et mettent volontiers « la main à la pâte ».
Aline a le souci du détail qui fera la différence tandis que Céline a le don de résoudre les problèmes, tout en douceur. Quant à moi, j’ai hérité du don artistique de mon papa.
Le cap’tain Jo et la chefke gèrent tout ce petit monde et nous apprennent régulièrement de nouvelles choses ; ce sont de bons amis, toujours disponibles.
On a tous le don de quelque chose et si n’avez pas encore trouvé le vôtre, cherchez bien … dame Nature ne vous a pas oublié !

Anaïs

LE JOURNAL DES PETITS PELERINS

L’accueil que vous réservez à ce journal lors de chaque parution nous fait énormément plaisir !
Nous essayons de tenir le rythme d’une parution par mois mais ce n’est pas toujours évident d’y arriver au milieu d’un tas d’autres activités.
Vous êtes nombreux à me demander si ce sont bien les jeunes qui écrivent les articles … je connais même un préfet qui a du mal à reconnaître ses élèves ! Ce sont effectivement bien eux qui écrivent les articles, je me charge de la correction de la syntaxe et de l’orthographe. Il m’arrive aussi de devoir aménager un peu le texte pour qu’il soit compréhensible mais j’essaye au maximum de conserver leurs idées … et ne vous en faites pas, quand ce n’est pas le cas, ils ne manquent pas de me le faire remarquer gentiment et ils ont bien raison !
Comme toujours chez les Petits Pèlerins, chacun participe comme il peut ou veut … certains écrivent, d’autres pas mais ce que j’ai pu constater c’est qu’au fur et à mesure la qualité s’améliore et je pense qu’il faut tout spécialement féliciter ceux et celles qui n’ont pas la plume facile mais qui s’y mettent courageusement chaque mois !
Les articles ne sont pas uniquement réservés aux jeunes … vos textes, réflexions, recherches sont également les bienvenus.
Le prochain thème sera : Marie et les témoins – articles chez François avant le 15 mai.

Evelyne

Mini quizz proposé par Claire : connaissez-vous bien les « Petits Pèlerins » ?

1. En quelle année a débuté le groupe des « Petits Pèlerins » ?
a) 2000
b) 2002
c) 2004
d) 2006
e) 2008

2. Combien sommes-nous de « Petits (ou grands) Pèlerins » ?
a) Entre 5 et 10
b) Entre 10 et 15
c) Entre 15 et 20
d) Entre 20 et 25

3. Laquelle de ces activités n'avons nous jamais réalisée ?
a) aller une journée à la mer pour danser sur la plage
b) aller à Taizé
c) partir un week-end en retraite (sous tente ou non)
d) aller au zoo
e) se faire une soirée « enfoirés » devant la télévision

4. Que faisons-nous une fois pas mois ?
a) Nous préparons des activités sur différents thèmes de la Bible et animons ensuite les plus jeunes durant un après-midi.
b) Nous répétons des chants, en prévision d'une messe ou simplement pour le plaisir de chanter.
c) Nous faisons une retraite d'un week-end durant laquelle nous discutons de l'agenda, des différentes activités à venir, du journal,... mais faisons aussi des échanges sur différents textes de la Bible.
d) Nous partageons sur un thème précis avant d'aller à la messe. Puis nous dinons chez Évelyne et José où nous restons jusqu'aux vêpres que nous vivons tous ensemble.
e) Nous faisons une sortie (cinéma, zoo, promenade,...) pour resserrer les liens du groupe.

5. Laquelle de ces chansons n'a jamais été un chant d'année chez les « Petits Pèlerins » ?
a) Accueillir la paix
b) Comme un voilier
c) Va porter le Soleil
d) Avance au large
e) Élargis ton cœur

La solution dans le prochain journal ou sur le forum des Petits Pèlerins :
https://petit-pelerin.actifforum.com/forum.htm

Les Petits Pèlerins vous invitent
à partager leur réunion mensuelle dominicale
de 9h30 à 10h30, Carmel de Floreffe, partage sur un thème
(le thème de Beauraing cette année c'est-à-dire : Marie, apprends-nous à rencontrer ton Fils et à nous laisser façonner par Lui en pierres vivantes de l’Eglise pour le monde d’aujourd'hui)
à 16h, chapelle de Floreffe, vêpres

Triduum à Beauraing
Comme chaque année, quelques uns de notre groupe accompagneront le triduum du doyenné de Leuze à Beauraing
du vendredi 23 juillet au mardi 27 juillet.
C’est une belle aventure et tout ceux qui nous ont rejoints …
sont restés d’année en année, toujours aussi contents d’y participer !
Si l’idée vous séduit, n’hésitez pas à nous en parler :
tout le monde y est le bienvenu !
La participation aux frais varie entre 140 et 165 euros par personne,
un tarif spécial est réservé aux étudiants.
Le groupe peut aider ceux qui seraient en difficulté devant le prix.